le cancer en question!

Publié le par janic

LE CANCER

Le cancer tue au moins 150.000 personnes par an, en France, soit une personne sur quatre. Le cancérologue Laurent Schwartz, exerçant à l’hôpital Tenon, à Paris, écrivait dans la revue La Recherche de Février 1996 :   « Il faut se rendre à l’évidence, non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale, le cancer a plutôt tendance à progresser. En France, on dénombrait 126.000 décès par cancer en 1968, 146.000 vingt cinq ans plus tard (1993) »

Je m’étais dit, en écrivant ce qui a précédé, que je consacrerai un chapitre au cancer et puis arrivé devant la page blanche, je me pose la question : Qu’en dire ? Ce n’est pas que le sujet manque de matière première, bien au contraire, mais qu’en dire sans retomber dans les ornières officielles ? Sans larmoyer sur le sort des malheureuses victimes, présentes et futures (vous peut-être demain), comme le font les médias avant de faire un appel à la générosité de ceux qui ont peur ? : « Versez vos dons à la recherche sur le cancer » Argent qui n’ira pas aux cancéreux, en priorité, mais aux laboratoires qui cherchent à grands frais ce qu’ils ont sous les yeux depuis si longtemps mais qui ne leur rapporterait pas un radis. Cependant si demain ils découvraient (avec vos sous) un produit miracle ils le brevetteraient et le feraient payer très cher aux malades (donc vous). Le sentiment ça ne marche que dans un seul sens.

Laurent Schwartz, toujours, dans le même article écrivait :

« Sydney Farber, cancérologue réputé, déclarait avec d’autres : -Nous touchons au but, ce dont nous avons besoin, c’est de l’énergie et des crédits identiques à ceux qui ont permis d’envoyer un homme sur la lune »

« 20 années après la date fixée et malgré les 40 milliards de dollars (200 milliards de francs) de dotations diverses injectées dans la recherche de chaque coté de l’Atlantique, il faut se rendre à l’évidence : non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale le cancer a plutôt tendance à  progresser »[1]

Il faisait 4 constats :

1°- Celui de la réalité :

« Dans les pays occidentaux, une personne sur deux est, ou sera, concernée par un cancer. Un français sur 4 en meurt. Demain, grâce au succès de la cardiologie, le cancer sera la première cause de la mortalité »

2°- Celui de l’échec :[2]

« Malgré l’énormité des moyens engagés depuis 35 ans, dans les pays occidentaux, la lutte contre le cancer est un échec .

- Nous pouvons nous demander pourquoi nous ne sommes pas arrivés à un résultat plus probant, malgré ces années de recherche.

- Il faut se rendre à l’évidence : non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale le cancer a plutôt tendance à progresser.

3°- Celui des risques :

-L’efficacité de la chimiothérapie est limitée par la capacité des cellules tumorales à développer une résistance aux médicaments antimitotiques (qui empêchent la division cellulaire)…En outre une cellule rendue résistante à un antimitotique en particulier, peut le devenir du même coup, à plusieurs antimitotiques à la fois. C'est-à-dire que le cancer devient résistant même à des médicaments auxquels il n’a pas encore été confronté.

4°- Celui de l’incidence alimentaire :

-On constate cependant une grande variation d’incidence selon les pays et l’on conclut à l’influence des habitudes alimentaires.

-Le cancer du colon est fréquent chez les peuples dont l’alimentation est pauvre en fibres, beaucoup plus rares[3] là où l’alimentation est riche en fibres comme au Japon…De nombreuses enquêtes sont en cours[4] pour préciser les rapports entre régimes alimentaires et divers types de cancers »

Pour la petite anecdote encore . Il y a 25 ans de cela aussi (1977) j’avais eu pour projet de faire une conférence sur la santé et afin d’attirer du monde j’avais fait passer un article choc dans la presse, du genre : « Demain, si vous êtes 4 dans votre famille, l’un de vous, statistiquement, mourra d’un cancer. Qui sera la prochaine victime ?... » C’était on ne peut plus accrocheur et effectivement je reçois une visite…..du service de répression des fraudes, me faisant savoir que je n’avais pas le droit de dire des choses pareilles et que je risquais des poursuites judiciaires. Je leur répondis que je ne faisait que reproduire une information venant d’un ponte de la médecine et où celui-ci disait que sur 500.000 décès annuels, les 125.000 seraient bientôt atteints, soit 1 sur 4 ; je ne faisais donc que transcrire dans une réalité concrète ce que des chiffres généraux ne faisaient pas bien percevoir. Un sur quatre par famille ou deux dans une famille et zéro dans deux autres, etc.. ou un sur quatre dans une population c’est la même chose.

Ces messieurs contestèrent, pour le principe, ma façon d’interpréter les choses, mais cela n’alla pas plus loin sauf que les journaux refusèrent de continuer à passer les annonces. Cela ne venait pas du service des fraudes, bien entendu, mais était le résultat d’une « pression », ce que me firent comprendre à demi-mot les journaux embarrassés sur les explications à fournir pour justifier ce refus.

Donc nous voici revenus à la case départ. Tiens donc, le mode de vie et particulièrement le mode alimentaire aurait quelqu’incidence sur les maladies (ici le cancer). On pourrait espérer que cela pourra déboucher vers une incitation au changement alimentaire ; mais n’y croyez pas trop et cela pour de nombreuses raisons dont la principale suit.

Pour que des comportements alimentaires, même partiels, changent ; il faut entre une et deux générations soit 25 à 50 ans, ce qui d’évidence n’est ni réaliste, ni réalisable sur une population nationale toute entière (même avec des lois contraignantes surtout dans nos pays industrialisés) et à plus forte raison mondiale. On peut donc supposer, sans trop de risques d’erreurs, que le cancer continuera à progresser irrémédiablement avec la modernisation des sociétés nanties et que les chiffres de 1 sur 4 passera à 1 sur 3, puis 1 sur 2, etc. Pourtant il suffirait de peu de choses pour inverser cette tendance. Ainsi une enquête a été menée en Californie[5] portant sur la comparaison de la mortalité de divers groupes connus pour leurs options politiques, sociologiques, philosophiques, religieuses ou alimentaires.

Un groupe particulier s’était fait remarqué par ses résultats hors de la norme. Il s’agissait d’un mouvement religieux californien « les adventistes du 7° jour » dont voici les résultats. Les chiffres sont donnés en comparaison avec le taux de mortalité de la population californienne générale.

Ainsi pour 100 décès dans la population générale, il n’y avait que 59 pour les maladies cardio vasculaires, 50 pour les cancers en moyenne, 13 pour les cancers du poumon, 37 pour les cancers de l’estomac, 60 pour les cancers du colon, 70 pour les cancers du sein, 57 pour les cancers de l’utérus-ovaires, 26 pour les maladies respiratoires, 11 pour les emphysèmes, 55 pour les diabètes et 57 pour les autres causes.

Cela a-t-il bouleversé la mentalité médicale ? Tous se sont-ils précipités pour savoir d’où venaient ces miracles ? Quels crédits équivalents à ceux du programme spatial furent alloués pour obtenir un pareil résultat ? Zéro dollar !

Qu’est-ce qui a permis cette différence ? Leur foi ? C’est peu probable, d’autres mouvements religieux, aussi pieux, ne se distinguaient guère de la population générale. Leur manière de se soigner ? Il n’existe pas plus de médication universelle permettant de tels résultats (environ 50 % de cancers et autres maladies en moins), sauf que… Sauf que ce mouvement se distingue par des règles d’hygiène générale et alimentaire n’existant pas dans les autres groupes religieux. Ils ne fument pas, ne boivent pas d’alcool (mais d’autres mouvements religieux ou non aussi) ne mangent pas d’aliments impurs comme les juifs ou les musulmans (mais ces derniers ne se distinguent guère des groupes témoins non plus) et ils sont végétariens (ou du moins devraient tous l’être puisque cela fait partie de leur « philosophie religieuse »).

Ce mode alimentaire particulier fait toute la différence (en tenant compte du fait que tous ne suivent pas cette règle puisqu’il s’agit d’une démarche de principe, pas de fait). Malgré tout, cela suffit pour faire chuter de façon impressionnante les chiffres comparatifs. Or AUCUN traitement, AUCUNE médication quelconque, ne permet d’obtenir des chiffres aussi bas malgré les milliards investis dans une recherche quasi stérile (quelques petits pour cent gagnés)et ces résultats pourraient être meilleurs si tous en avait compris le sens métaphysique ET physique. Un naturologue, chef de file d’un mouvement végétarien français, faisait remarquer :

« N’attendons pas d’être cancéreux pour changer notre façon de vivre, cela c’est la vrai sagesse. Après plus de 30 ans de pratique et d’observations étendues, nous n’avons jamais constaté l’apparition de cancer chez les végétariens à notre manière. »[6]

Ce qui, corrobore les travaux scientifiques existants, cités précédemment sur ce sujet, et rejoint ce que disait le Dr. Gernez sur l’incidence du mode alimentaire sur la genèse du cancer. Il ne faut pas pour autant croire en l’immortalité ; chacun de nous devra laisser sa place, mais si possible pas dans ces conditions de détresse humaine. En attendant des centaines de milliers, des millions d’hommes et de femmes sur la terre entière, continueront d’être fauchés par ce fléau (si simple à éviter) en étant persuadés de n’y être pour rien. Il ne s’agit pas ici de tendre un doigt accusateur, moraliste, vers qui que ce soit ; nous devons tous faire des choix, bon ou mauvais, et nous devons en assumer les conséquences, de façon consciente ou non. Les gens ont pris l’habitude de considérer que les choses graves ne peuvent trouver que des solutions complexes et la simplicité fait sourire ou fait peur.

Jésus fut, lui-même placé devant cette interrogation face à la mort : Coupable ou innocent ?

« Ces 18 personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu’elle a tués ; croyez-vous qu’il fussent plus coupables que les autres habitants de Jérusalem ? Non je vous dis ; Mais si vous ne vous repentez pas vous périrez tous également ».

Dans le langage religieux, se repentir signifie regretter ses erreurs et y mettre fin. Si le cancer est comme une tour de Siloé qui tombe sur les coupables comme les innocents, il faut regretter et mettre fin aux erreurs qui le provoque pour ne pas y laisser sa peau aussi. Il faut donc la contourner largement pour ne pas se trouver sous ses éboulis

Cependant pour lutter contre cette maladie et surtout l’éviter, il faut d’abord en comprendre les mécanismes.

Les cellules cancéreuses se divisent environ 4 fois par an. Ainsi la cellule cancéreuse se sera divisée en 16 la première année, en 256 la seconde année ; atteindra son seuil d’irréversibilité (environ 1.000.000) la cinquième année et ne sera détectable que vers la huitième année au stade d’un milliard de cellule (1gramme) et atteindra son stade final, mortel, de 1.000 milliard de cellules (1 kg) vers la fin de la dixième année. C’est ce que l’on appelle la courbe de Collins.

Cela fait se poser la question de la détection des cancers à un stade ayant dépassé 1.000 fois celui de la réversibilité. Il va de soi qu’il apparaît absurde d’attaquer un cancer dès qu’il devient visible, donc 1000 fois trop tard, alors qu’il est bien plus facile d’attaquer celui ci dès l’apparition des premières cellules.(Ce que l’organisme fait naturellement dans des conditions normales)

D’où la question : La cellule cancéreuse va-t-elle plus vite à se développer qu’à être anéantie ? A raison de 4 divisions PAR AN, une cellule cancéreuse n’aura donc produit QUE 16 cellules sur cette période. Alors pourquoi l’organisme n’arrive-t-il pas à se débarrasser de 16 petites cellules de rien du tout ? Et s’il n’arrive pas à éliminer 16 cellules comment parviendrait-il à en éliminer plusieurs milliards ? D’autant que plus un cancer se développe et plus les cellules au cœur de la masse cancéreuses sont protégées des attaques extérieures. La surface cancéreuse augmentant au carré tandis que sa masse augmente de façon cubique, donc de façon exponentielle.

Ce qui explique l’efficacité, partielle, que l’on obtient avec l’extraction chirurgicale des parties cancéreuses importantes, provoquant de ce fait un répit dans la progression des cancers. Malheureusement certains cancers sont inopérables d’où les décès consécutifs. Pour les autres, les métastases (inopérables aussi) généreront de nouveau cancers comme le font les plantes à partir de rhizomes.

Les anti mitotiques (empêchant la division cellulaire) agissant efficacement contre la division des cellules malignes, empêchent tout aussi efficacement la division des cellules saines, réparatrices et régénératrices du corps et provoquent de ce fait, une dégradation des organes concernés et en même temps leur vieillissement précoce tout en prédisposant de ce fait le corps au développement d’autres maladies.

Chacun se dira qu’entre deux maux il faut savoir choisir le moindre ! Certes.

Alors prenons donc une comparaison : Il y a 2 ou 3 siècles, à peine, de nombreuses plaies s’infectaient provoquant septicémies et gangrènes conduisant à l’amputation nécessaire. Aujourd’hui les amputations sont rarissimes parce que les plaies sont protégées, au départ, avant qu’une infection se déclare. Eh bien la recherche sur le cancer en est encore au stade de l’intervention sur le gangrené, alors que de nombreux travaux (non reconnus) en sont au stade de l’asepsie ; mais ces derniers se trouvent freinés par de nombreux préjugés (quand ce ne sont pas d’immenses intérêts commerciaux).

La sagesse serait donc d’avoir une action PREVENTIVE contre le cancer ; non pas en cherchant de nouveau un vaccin ou un médicament miracle (évitant de SE remettre en question), mais en favorisant les conditions naturelles empêchant la prolifération des cellules anarchiques, ainsi que l’a montré l’enquête sur les californiens citée plus tôt.

Pour ce faire on peut citer les travaux de Reding, Warburg, Walford ou Gernez, parmi d’autres :

Le Pr Walford a montré que la réduction de 1/3 de la ration alimentaire chez les animaux d’expérience, réduisait de 10 à 60% les cancers provoqués (Presse médicale du 6/11/71)

Un régime appauvri en calories réduit la sollicitation métabolique des cellules provoquant une ACIDOSE durable de l’organisme, par consommation des réserves.

Le sucre : Les tissus cancéreux sont avides de sucres. La réduction de sucre rend plus difficile la cancérisation provoquée. A noter que selon le prix Nobel Warburg, le cancer serait incapable d’utiliser le sucre de canne[7] .

Les viandes crues ou peu cuites et les aliments riches en cholestérol favorisent l’éclosion des cancers provoqués.

Selon Reding et Warburg, à partir d’un certain degré d’ACIDIFICATION du sang le cancer ne peut plus utiliser le sucre nécessaire à sa végétation active ; par opposition l’ALCALOSE contribue à son éclosion. Ainsi le tissu le plus acidosique, le muscle (pH<7) ne se cancérise pratiquement jamais et les métastases des autres organes atteints sont incapables de s’y greffer ; alors que tous les autres tissus, même l’os, les hébergent. Les seuls et rares cas dont la guérison est instantanée, guérissent à la suite d’une fièvre intense et prolongée[8] dont la traduction sur le milieu cellulaire est une ACIDOSE.[9]

Carences vitaminiques et minérales : Ainsi une carence en fer peut provoquer des cancers de la gorge comme cela a été constaté en Suède ; une carence en cuivre provoquer le cancer de l’estomac comme cela a été constaté en Angleterre, de vitamine B sur l’estomac au Japon ou de magnésium pour les cancers de la peau comme l’ont démontré les travaux du Pr Delbet.

Oxygène : L’insuffisance d’oxygénation favorise le développement de la cellule cancéreuse qui lui substitue un phénomène de fermentation[10]

Comme on le voit, le cancer ne trouve à se développer que lorsque certaines conditions lui sont favorables confirmant les travaux de L.CL. Vincent sur la Bio Electronique (cités par ailleurs) et montrant que les cancers ne se développent que sur des terrains basiques et oxydés. On est loin de la complexité dans laquelle se perdent les laboratoires à la recherche d’une substance miracle qui pourra s’exploiter commercialement et de façon juteuse. C’est pourquoi PREVENIR vaut mieux que PERIR. Oui mais qu’est-ce que prévenir ?

 

 



[1] « Le cancer résiste à la science ». Revue la Recherche N° 24 de Février 1996 Laurent Schwartz

[2] En 1959, il mourrait 33.100 personnes du cancer. Dix ans plus tard en 1969 il mourrait 101.973 personnes de ce même cancer. Une explosion brutale de 300% touchant même les enfants qui jusque là en étaient préservés. Qui s’est demandé pourquoi ?Est-ce un hasard si dans le même temps explosait la culture intensive avec force engrais potassiques s’opposant au magnésium (si important dans la genèse du cancer comme l’ont montré les travaux du Pr Delbet) ainsi que les processus industriels raffinant et carençant donc les aliments ?

[3] C’est moi qui souligne tous ces passages

[4] A noter qu’il y a plus de 30 ans déjà, nombres de travaux scientifiques montraient l’incidence du mode alimentaire sur les maladies dont le cancer. Les enquêtes sur le sujet peuvent durer encore un grand nombre d’années et en rester là.

[5] Thèse de doctorat du Dr Badina à Clermont Ferrand

[6] Raymond Dextreit. La méthode harmoniste. Page 355 Chapitre Cancer . Editions Harmonistes. C’est ce même auteur qui a aidé Rika Zaraï à retrouver sa santé après son terrible accident ce qui à fait d’elle une adepte inconditionnelle de ce mode de vie et qui lui a valu tant d’ennuis et de moqueries.

[7] La consommation de sucre raffiné de betterave a décuplé ces 50 dernières années et les cancers en ont fait autant. Est-ce encore et toujours un hasard ?

[8] Pensons aux conséquences que peuvent avoir les anti fébrifuges pouvant faire avorter des micros cancers avant que ceux ci atteignent une forme pathologique grave. Est-ce encore un hasard si la consommation excessive de sucre chez les enfants ainsi que l’avortement des fièvres chez ceux ci ont fait que cette maladie, qui ne touchait que les adultes, s’est progressivement étendue à l’enfant ?

[9] Maintenant je peux révéler pourquoi j’étais persuadé que mon collègue de travail atteint d’un cancer sortirait de l’hôpital. En effet durant son séjour dans celui-ci il ne put se « nourrir normalement », cette sous alimentation générant une forte acidose s’opposant à la progression de son cancer et même l’ayant très probablement fait régresser. Certains cancers régressant ou disparaissant lors de jeûnes prolongés (Voir le jeûne plus loin)

[10] Ces différents points sont extraits de la brochure : « Comment éviter le cancer » réalisée avec la collaboration du comité pour la prévention et le traitement du cancer à Roubaix et de la Vie Claire.

Extrait de mon livre Stop à la maladie.

Publié dans Santé

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