Et dieu dans tout ça?

Publié le par janic

 

Mise en garde importante :

Cet article étant particulièrement iconoclaste, vous êtes priés d’en éloigner les personnes sensibles.

Et oui, et DIEU dans tout ça?

Vous, moi, ouvrons chaque jour la radio; la télévision; lisons les journaux, des livres d’histoire et régulièrement, comme un leitmotiv, reviennent des histoires de DIEU.

 De DIEU ?... Non, de religions.

En écoutant, en observant tout cela; on peut s’apercevoir que le grand absent, c’est bien lui ! Certes, son nom est maintes fois évoqué : Grand Dieu !  Oh, mon Dieu ! , Sacré nom de Dieu ! Bordel de Dieu ! et autres appellations d’origine plus ou moins délicates les unes que les autres car, croyant ou athée, chacun éprouve la nécessité de se référer à ce nom-là. Le Christ, lui même, ne fut-il pas mis à mort au nom de DIEU ?

N’est-ce pas en ce nom là que des millions de ceux qui s’en recommandent se sont tapés, et se tapent encore joyeusement, sur la figure depuis des siècles ? Juifs, catholiques, protestants, orthodoxes, musulmans -tous fils d’un même père- se battant pour obtenir, ou garder, la première place à la droite de ce DIEU.

Il faut reconnaître que l’histoire de ce DIEU a bien mal commencé. Il vous est peut-être arrivé, ami lecteur, que quelque bon apôtre vous ait conseillé la lecture de ce best-seller mondial qu’est la Bible et, comme vous êtes curieux de nature ou bien désireux d’augmenter votre culture (déjà abondante), vous vous êtes lancé dans cette aventure. Après l’histoire de quelques bédouins du désert devenus esclaves en Egypte, puis délivrés du Pharaon par le grand gourou Moïse[1]; voici une multitude de personnes arrivée aux portes de Canaan. Moïse, trop avancé en âge pour jouer les d’Artagnan, se voit remplacé par Josué son compagnon d’aventure.

Et là, si vous êtes un passionné par les récits sanguinaires, vous allez en avoir pour votre argent. Attila, à coté, ce n’est que de la gnognotte ; Gengis Khan, un petit rigolo ; Hitler, un mauvais amateur ! Le sang coule à flots. Le déluge, à coté, parait juste un pipi d’oiseau (même un grand). Cette vision de sang abondamment répandu est d’ailleurs présente dans l’Apocalypse aussi : 

Et du sang sortit de la cuve jusqu’au mors des chevaux sur 1600 stades...(Apocalypse 14 : 20) 

Ce ne sont que des symboles, certes, mais s’appuyant sur une image tangible.

Si l’on devait réunir le sang que nos braves humains ont fait couler, et qui coulera encore, des veines de leurs semblables; 1600 stades, soit 300 kilomètres environ, ne seraient rien de trop.

J’exagère? Alors on calcule vite fait:

1600 stades sur 1,50 mètre de haut (la hauteur des mors d’un cheval arabe), disons pour 6 milliards d’individus à 5 litres par personnes; cela fait, voyons...Cela fait tout de même 60 mètres de large sur 300 kilomètres de longueur; un beau petit fleuve ! Et 6 milliards sur les 80 milliards d’individus depuis l’origine[2]; c’est vraiment peu de choses, (tiens, juste la population actuelle !) mais cela fait tout de même pas mal de raisins foulés dans…

... la cuve de la grande colère de DIEU.                                  (Apocalypse 14 : 19)

Donc, pour en revenir à Josué, ces braves descendants d’Abraham eurent pour mission de dévouer par interdit[3] hommes, femmes, enfants, vieillards, animaux ; un grand nettoyage par le vide. Mettez-vous à leur place, 400 ans esclaves à recevoir des baffes sans pouvoir les rendre, ça fait bouillir la marmite. Alors, taper sur les autres, ça soulage. Au bout de quelques temps, la colère retombée, ils en ont ras la Kippa[4] de cette boucherie et, aspirant à une retraite bien méritée, ils se mettent à cultiver leurs choux et leurs carottes.

Bien entendu, ils se font houspiller par DIEU lui même :

- Comment ? Mais qu’est-ce que c’est que ce boulot ? Il y a encore des saletés qui traînent partout. Allez ! Finissez-moi le ménage vite fait.

Ces hauts faits, de la conquête de ce qui deviendra la Palestine ou Israël, vous seront probablement restés en travers de la gorge :

- Quoi! C’est là le BON Dieu ? Celui qui aime tout le monde ? Qui a dit : - Tu ne tueras point ? Et d’un seul coup, d’un seul, vous claquez votre bouquin.

Pas de chance; vous venez de vous condamner vous même à la mort éternelle, pour n’avoir pas voulu y reconnaître le BON Dieu en question, et vous allez passer l’éternité (qui dure un bon bout de temps) à vous faire rôtir, un coup pile, un coup face, dans le feu de l’enfer[5] comme lorsque vous vous faites cuire sur les plages lors des congés annuels au risque d’un cancer de la peau. (Est-ce une façon de s’entraîner pour plus tard ? Va savoir !) Mais si vous n’aimez pas les endroits où il fait trop chaud, vous collez votre bouquin sous le bras et, de ce pas, vous allez voir le curé le plus proche, si vous en trouvez un car ils se font de plus en plus rares. Bon tant pis; un pasteur, un pope, n’importe quel chrétien patenté, pour vous faire expliquer où ce BON Dieu se cache dans ces holocaustes humains, ces carnages sanguinaires.

Ne craignez rien, vous allez être enfin rassuré! Il vous sera expliqué que ce DIEU là n’a plus cours, que c’est un vieux modèle qui n’est plus fabriqué parce qu’il avait de nombreux défauts, mais qu’il a été remplacé par un nouveau Seigneur, bien plus performant, qui ne tombe jamais en panne, qui ne se fâche (presque) jamais, qui ne punit jamais et qui est contre la violence. Une sorte d’objecteur de conscience, anarchiste, baba cool, hippie -faites l’amour pas la guerre. Tu lui files une baffe, il te tend l’autre joue, tu lui piques son manteau, il te file ses sandales, tu lui craches au visage, il en fait un cataplasme d’argile pour soigner les aveugles. Ce modèle, ultra-performant, est le remède universel contre les boutons, les maux de tête, les disputes de ménage, les angoisses de la mort, le chômage. Il a pour cela établi un réseau de marketing. Tu peux téléphoner à ses collaborateurs directs si tu as un problème. Tu as perdu tes clés ? Saint Machin va t’aider à les retrouver. Tu vas faire un tour en voiture et Saint Truc va te protéger malgré les 3 grammes d’alcool que tu as dans le sang. Si tu as des problèmes sentimentaux, c’est sa maman qui s’occupe, directement, du courrier du cœur ; et si vous n’êtes pas rassurés avec tout çà c’est vraiment que vous avez une pierre à la place du cœur.

- Et DIEU ?

- Quel DIEU ? Ah, l’autre ? !

Rassurez-vous, il coule une retraite paisible et méritée à la campagne (céleste bien entendu) à moins que ce ne soit dans une casse où, de temps en temps, on vient lui retirer une pièce détachée, par ci, par là, pour dépanner les croyants anciens modèles encore en circulation. Il restera bien quelque fâcheux raisonneur pour dire que Jésus, le fils, est subordonné au père, et fait tout ce que ce dernier lui commande de faire.

- Alors pourquoi ce vieux barbon grincheux de l’Ancien Testament est-ce qu’il n’est pas gentil comme son fils ? Pourquoi ce dernier pardonne tout, alors que son papa tient rancune jusqu’à dix générations ? Pourquoi le papa dit :

Oeil pour œil, dent pour dent ?                                                              (Exode 21 : 24)

et le fils :

Aime ton prochain comme toi même ?                                        (Matthieu 19 : 19)

C’est bien que son papa, il est méchant, et pourquoi ? Et pourquoi ?

 C’est ce que l’on appelle la douche écossaise ou encore la carotte et le bâton. La carotte c’est Jésus, le doux Jésus, l’idole des foules en liesse, représenté ici-bas par le monsieur habillé tout en blanc. Et le bâton c’est le vieux ronchon d’en haut, avec ses gros sourcils et une grande barbe, qui punit tout ce qui lui passe à la portée de la main.

- Alors qu’est-ce que tu préfères : La carotte ou le bâton ?

- La carotte, bien sûr !

Et clinc ! Un de plus sauvé pour l’éternité. Fini le rêve du farniente éternel, plus de bronzage gratis aux flammes de l’enfer; te voilà devenu… un saint !

- Et DIEU ?

- Et DIEU quoi ? Ce que je viens de te dire ne te suffit pas ?

- A vrai dire, non !  Je viens d’entendre les sempiternels discours religieux sur la bagarre d’influence entre ces deux titans de l’histoire religieuse : L’ancien DIEU et le nouveau DIEU. Mais j’avais cru comprendre qu’il n’y en avait qu’un, que celui-ci était éternellement un sans changement ni ombre de variation, et le discours que vous tenez semble dire le contraire. Jésus n’a-t-il pas repris celui qui lui disait bon maître par ces paroles :

« Pourquoi m’appelles-tu bon, personne n’est bon sinon le dieu unique ». (Luc 18 : 19)

Manifestement, il casse par avance l’image que l’on voudra faire de lui et renvoie au seul bon DIEU.

- Comment dites-vous ? DIEU c’est lui ? ! Jésus le seul et unique DIEU et seul capable de changer les paroles de l’autre DIEU, enfin l’autre qui est lui quoique n’étant pas lui ! Alors pourquoi refuse-t-il qu’on l’appelle bon si c’est lui le bon et pourquoi renvoie-t-il à DIEU si c’est lui DIEU ?

- Vous n’avez pas compris ? C’est pourtant simple, je vais vous expliquer.

DIEU le père, DIEU le fils et DIEU le Saint-Esprit ont fondé une société anonyme dont chacun détient 33% des parts. Alors selon la cotation en bourse et les fluctuations du marché, le Saint-Esprit soutient DIEU... le père, dans les méchantes choses : les guerres, les violences, les lois, les contraintes, etc... A d’autres moments, il soutient DIEU... le fils dans les agapes ou amours fraternels, le laisser-aller, la bonne franquette, l’abolition des lois, etc...

Car il faut, avant tout, satisfaire les actionnaires que sont les croyants qui ont investi dans les actions de cette société. Le business c’est le business !

- Et DIEU dans tout ça ?

- Et DIEU ? Tiens ! Il vient de s’asseoir sur un nuage d’où il regarde la terre et son fils Jésus vient juste de le rejoindre.

- Tu as entendu tout ce qu’ils disent sur moi, dit le père, c’est pas DIEU possible. A les entendre, je serais responsable de tous les malheurs qui arrivent à l’humanité. Les guerres ce serait moi, les cancers, les S.I.D.A. encore moi, le trou dans la couche d’ozone toujours moi. Si je laisse vivre un enfant qui deviendra le pire des meurtriers ou des dictateurs de la terre, on me reproche de l’avoir laissé vivre et si je le fais mourir on me reproche d’avoir laissé mourir un enfant innocent. Ecoutes-les : “- Ah, si DIEU existait, il ne permettrait pas des choses pareilles !” Pour qui me prennent-ils ? J’aimerais les voir prendre une seule décision à ma place. Et tu connais la dernière ? Si j’étais si puissant que cela, disent-ils, j’aurais dû les rendre tous bons. Tous coulés dans le même moule, sans personnalité, sans liberté. Des clones, comme ceux qu’ils sont en train de fabriquer, des moutons bêlants; mais dès que je leur impose une “bonté”, les voilà qui rouspètent, que ce n’est pas bon pour eux, que c’est trop ceci, pas assez cela. Je vais te leur filer une tourlousine dont ils se souviendront longtemps.

- Ne te fâches pas, papa, dit le fils, c’est mauvais pour ton cœur, et puis tu sais que les coléreux n’hériteront pas du royaume de DIEU ! Sauf que toi tu y es déjà, c’est raté ! Regarde ce qu’ils m’ont fait : des clous dans les mains et dans les pieds parce que je pratiquais l’exercice illégal de la médecine, « Rika Jésus » qu’ils m’appellent. J’aurais voulu te voir à ma place. Tout ça parce que, d’après eux, je ficherais par terre et derrière ton dos tout ce que tu as dit. Tu me connais papa, hein, je ne ferais jamais cela, dis, tu me crois ?

Sur ces entrefaites arrive le troisième associé (il n’a pas le droit de se faire appeler Dieu, lui, vous avez remarqué ?) qui, s’étant assis, prend la parole à son tour :

- Et moi, alors, il paraîtrait que c’est moi qui leur aurais inspiré tout cela.

« C’est poussés par le Saint-Esprit, qu’ils disent, que nous prononçons ces paroles. » Je vous assure pourtant que je n’y suis pour rien[6]. Ils sont gonflés ceux d’en bas ; mais ils savent bien que s’ils se contentent de dire : « ainsi parle monsieur Dupont », personne ne voudra les entendre tandis qu’en se servant tour à tour de nos noms ils peuvent raconter n’importe quelle ânerie, aussi grosse qu’eux, et tous les moutons bêlants et superstitieux qui les écoutent, vont dire : « AMEN SEIGNEUR ! »

J’en vois d’ici qui ricanent. Libres penseurs, agnostiques, athées et antireligieux en tous genres qui lisez cet article (Parce que, pensez-vous, je casse du sucre sur le dos de la religion et en plus de cela, c’est vrai !) rappelez-vous que l’idée que vous vous faites de l’inexistence de DIEU n’a pu se faire que grâce à ce même conditionnement religieux! Sans leur fâcheuse attitude, vous seriez peut-être encore des grenouilles de bénitier vous-même.

L’existence de DIEU (s’il existe) ne dépend ni de vous, ni de moi, ni d’eux, pas plus que les microbes ne dépendent du microscope ou les étoiles des lunettes astronomiques. Cependant qui oserait, aujourd’hui, nier l’existence des microbes, de l’atome ou des étoiles se trouvant à des milliards d’années-lumière, alors que la grande majorité de nos contemporains ne verront jamais, de toute leur vie, ni les uns, ni les autres. La foi de ceux qui croient religieusement est-elle, et en quoi, plus naïve que la foi de ceux qui croient scientifiquement ?

Si le monde qui nous entoure devait se limiter à ce que nos 5 sens humains perçoivent, celui-ci serait réduit à sa plus simple expression : Rien... ou presque. Heureusement, pour tout ce qui existe, l’homme et ses courtes limites ne sont pas une référence de l’infini et la candeur naïve (qui pousse d’aucuns à affirmer que DIEU n’existe pas parce qu’ils ne l’ont jamais vu), pourrait faire sourire si cela ne cachait pas quelque chose de plus profond qu’un conditionnement religieux.

En effet les psychologues ont remarqué qu’une personnalité enfantine persiste dans l’adulte jusqu’à son extrême vieillesse. (Ne dit-on pas des vieillards qu’ils retombent en enfance, ou qu’ils retrouvent leur enfance ?) L’adulte n’est qu’un enfant qui prolonge tardivement ses jeux dont il entend que ceux-ci soient enfin pris au sérieux. Et ses réactions psychologiques d’adulte ne sont que le prolongement de ses émotions d’enfant.

Il en est de même sur le plan spirituel. DIEU désigné fréquemment sous le terme de père (en esprit) renvoie immédiatement au père (selon la chair) et à la charge émotive qui l’accompagne. En effet, un enfant charnel peut, pour de multiples raisons valables, refuser un père violent, tyrannique, sévère (d’ou le rejet que les hommes ont fait du DIEU de l’Ancien Testament selon l’image que ceux-ci en ont faite). Il peut refuser aussi un père laxiste, sans consistance, ni virilité (d’où le rejet du Christ, image de celui qui reçoit les coups sans les rendre, ne protégeant pas sa famille). Il peut refuser un père qui l’a abandonné à sa naissance et qu’il ne connaît pas (image de ce Dieu, propagé par l’athéisme, qui n’est pas visible et inconnu et donc qui n’existe pas).

L’athée n’est qu’un enfant spirituel traumatisé par une sensation d’abandon et rejetant celui qui, croit-il, l’a laissé tomber, sans même se soucier des raisons et des circonstances qui en ont été la cause : Mon père, dit-il, n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais.

L’agnostique, lui, refuse de répondre à la question. Peut-être que sa maman a couché avec un monsieur, peut-être qu’ils ont eu un enfant et peut-être que cet enfant c’est lui. Toutes ces choses-là le dépassent. Quand sa maman lui dit :

- Va dire bonjour à ton père !

Il lui dit :

- Bonjour monsieur.

Ses propres enfants sauront-ils le reconnaître, lui, comme leur père ?

L’anti religieux, quant à lui, cultive la haine ou pour le moins le ressentiment. Il en veut à son père de n’être pas l’idéal qu’il en attendait (le père en question étant perçu au travers des religions). Ce monde idéal auquel il aspire ne s’est pas réalisé, en grande partie, à cause de la religion et des religieux et il en veut à DIEU de n’avoir pas su driver ses représentants charnels. Dès lors, il le rejette.

 Or les religions, tout comme les incroyances, ne sont, comme les microscopes et les télescopes, évoqués précédemment, que des instruments destinés à faire percevoir quelque chose au delà de la vision limitée de l’œil humain. Les miroirs rayés, la poussière accumulée depuis des années, le manque de lumière, la mauvaise utilisation (on ne regarde pas les étoiles avec des microscopes, ni les microbes avec des télescopes) d’un matériel; ne doit pas en faire oublier la fonction initiale : Etre au service de l’homme et non l’inverse. Jésus disait :

« Le sabbat est à cause de l’humain et non l’humain à cause du sabbat. » (Marc 2 : 27)

Ce qui veut dire que le repos, comme la vraie religion, est au service de l’homme, pour l’aider à percevoir ce qui est imperceptible et non l’homme au service de la religion comme ce qu’il est malheureusement devenu.

Et si DIEU existe vraiment, peut-être alors pourrez-vous vous poser la question :

Qui est vraiment ce père que tout enfant est appelé à connaître ou à redécouvrir ?

Alors, bonne chance et ... A DIEU, bien sûr !

 



[1] Dont nous avons vu une partie des aventures dans le chapitre sur la LOI.

 

[2]  Pour 80 milliards d’individus (cela ferait 1 km. de largeur ; c’est déjà pas si mal). LE QUID

[3] Ce qui en langage décodé signifie mettre définitivement fin à leurs problèmes terrestres : Couic!

[4] Calotte portée par les juifs pratiquants.

[5] Un bel épouvantail que cet enfer éternel inventé par la religion et destiné à maintenir les brebis peureuses et superstitieuses dans le giron de la bonne religion.

[6] Ce dialogue est à peine imaginaire ; Ils prennent leur parole pour ta parole,... Je ne leur ai rien commandé à ce sujet, lit-on dans Jérémie 23 : 31 et 32.

Publié dans bible

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S
Bonjour, dommage que le blog soit arrêté... Qu’êtes-vous devenu ?
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